Des ERP renforcés par le SaaS ! Aux premières lueurs de la sortie de crise mondiale, force est de constater que les dirigeants d’entreprises (comme ceux du secteur public) ont devant eux un gigantesque programme de modernisation à mener. Celle-ci se fera par la réorganisation, par un nouveau contrat avec les collaborateurs et par… la technologie !
Ainsi cette palette d’objectifs premiers mise face aux outils TIC qui permettent de les réaliser : gestion des performances par les processus (BPM), pilotage temps réel (BI), relations client resserrées (CRM), productivité et mises en conformité légale (Dématérialisation, ERP, réseaux sociaux communautaires, Extranet), commercialisation multicanal (e-Business, ERP),
maîtrise des dépenses et optimisation des achats (solutions e-Achats), gestion financière au cordeau (FRP – ERP Financier)…
Pourtant ces deux dernières années, la demande semble s’être transformée. Non pas que le besoin en couverture fonctionnelle ait changé, mais c’est dans la façon de « Considérer, Consommer et Payer » les NTIC qu’une révolution douce s’est opérée.
Considérer : depuis le temps qu’on nous l’annonçait, la notion d’informatique « utilité » (en anglais utility) se généralise ; et le grand mouvement autour du Cloud Computing n’est sans doute pas étranger à cela…
Consommer : de fait sans internaliser les progiciels, sans « posséder », sans amortir, sans gérer un lourd projet, en jouissant de l’évolutivité de la formule SaaS, tout en gardant une liberté de réversibilité,…
Payer : à la consommation, au(x) service(s)
Dès lors, que vont les ERP devenir ? La réponse est là, toute simple : ils seront les premiers bénéficiaires de cet engouement. Et maintenant que les éditeurs les proposent en mode « as a Service », ils n’en sont que plus faciles à acquérir, à compléter fonctionnellement et à utiliser. Leur pertinence reste plus que jamais de mise.
Cette nouvelle édition du salon ERP en fera la preuve !
